Les espèces du genre Alectoris qui habitent la Méditerranée, c’est-à-dire la perdrix rouge (Alectoris rufa) (PR), la perdrix bartavelle (A. graeca), la perdrix gambra (A. barbara) (PG), et la perdrix choukar (A. chukar) (PC), sont incluses dans la liste des “Espèces d’intérêt européen pour la conservation” (SPEC), à cause de la sévère pression de chasse et de la pollution génétique. En effet, la pratique illégale du croisement artificiel parmi ces espèces, permet de produire des animaux hybrides plus prolifiques et forts. Du moment que la vente aussi que le change sont une pratique routinière entre les élevages et les maisons de chasse au cours des repeuplements, la pollution génétique des populations sauvages est désormais considérable, surtout à la frontière entre la France et l’Italie, et en Grèce. Au-dedans du projet Interreg III, qui vise à l’analyse génetico-moléculaire des perdreaux du genre Alectoris dans l’ensemble Corse-Toscane Livournaise, PRs de l’île de Pianosa (Parc National de l’Archipel Toscane, n = 14) aussi que de régions de haute montagne (Nessa-Feliceto, Lozzi, Reginu, Fium’Orbu-Taravu: n = 22) et d’élevage de la Corse (Carbuccia, n = 6), ont été étudiées avec des PGs aussi échantillonnées en Sardaigne, sur le territoire (provinces de Nuoro et Oristano: n = 4) et dans différentes élevages (Bonassai, Oliena, Monastir: n = 3). Le séquençage de l’entière Région de Contrôle (près de 1155 pb) et de la plupart du gène Cytochrome b (1092/1143 pb) de l’ADN mitochondriale, a montré la présence des lignes maternelles de la PR et de la PC dans les populations de Pianosa et de la Corse, tandis que la seule ligne de la PG a été trouvée en Sardaigne. L’analyse aux marqueurs RAPD (Random Amplified Polymorphic DNA), a montré que le 93% et 65% des individus échantillonnés à Pianosa et en Corse, respectivement, sont hybrides entre la PR et la PC, tandis que la population de PG n’a pas encore été analysée. Dans ce cadre général de diffuse pollution génétique, on peut affirmer que le génome naissant de la PR semble virtuellement disparu de la Méditerranée centrale. En plus, les résultats préliminaires reportés, démontrent que la Sardaigne représente une ressource de biodiversité qui paraît encore intègre. Donc, les populations sardes de PG devraient être mises sous contrôle pour permettre des repeuplements sûrs et sauver leur génome.

Molecular-genetic analysis of Alectoris partridge populations of the western Mediterranean islands

BARBANERA, FILIPPO;GUERRINI, MONICA;DINI, FERNANDO
2004-01-01

Abstract

Les espèces du genre Alectoris qui habitent la Méditerranée, c’est-à-dire la perdrix rouge (Alectoris rufa) (PR), la perdrix bartavelle (A. graeca), la perdrix gambra (A. barbara) (PG), et la perdrix choukar (A. chukar) (PC), sont incluses dans la liste des “Espèces d’intérêt européen pour la conservation” (SPEC), à cause de la sévère pression de chasse et de la pollution génétique. En effet, la pratique illégale du croisement artificiel parmi ces espèces, permet de produire des animaux hybrides plus prolifiques et forts. Du moment que la vente aussi que le change sont une pratique routinière entre les élevages et les maisons de chasse au cours des repeuplements, la pollution génétique des populations sauvages est désormais considérable, surtout à la frontière entre la France et l’Italie, et en Grèce. Au-dedans du projet Interreg III, qui vise à l’analyse génetico-moléculaire des perdreaux du genre Alectoris dans l’ensemble Corse-Toscane Livournaise, PRs de l’île de Pianosa (Parc National de l’Archipel Toscane, n = 14) aussi que de régions de haute montagne (Nessa-Feliceto, Lozzi, Reginu, Fium’Orbu-Taravu: n = 22) et d’élevage de la Corse (Carbuccia, n = 6), ont été étudiées avec des PGs aussi échantillonnées en Sardaigne, sur le territoire (provinces de Nuoro et Oristano: n = 4) et dans différentes élevages (Bonassai, Oliena, Monastir: n = 3). Le séquençage de l’entière Région de Contrôle (près de 1155 pb) et de la plupart du gène Cytochrome b (1092/1143 pb) de l’ADN mitochondriale, a montré la présence des lignes maternelles de la PR et de la PC dans les populations de Pianosa et de la Corse, tandis que la seule ligne de la PG a été trouvée en Sardaigne. L’analyse aux marqueurs RAPD (Random Amplified Polymorphic DNA), a montré que le 93% et 65% des individus échantillonnés à Pianosa et en Corse, respectivement, sont hybrides entre la PR et la PC, tandis que la population de PG n’a pas encore été analysée. Dans ce cadre général de diffuse pollution génétique, on peut affirmer que le génome naissant de la PR semble virtuellement disparu de la Méditerranée centrale. En plus, les résultats préliminaires reportés, démontrent que la Sardaigne représente une ressource de biodiversité qui paraît encore intègre. Donc, les populations sardes de PG devraient être mises sous contrôle pour permettre des repeuplements sûrs et sauver leur génome.
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